Une nouvelle Fatwa recommande aux hommes de boire le lait de la poitrine des femmes

Translated by: Gabriel Eid

Le mois dernier, j’ai écrit un PJM article traitant de certaines pratiques problématiques de l’islam, spécifiquement celles qui furent attribuées au prophète musulman Mouhammad. Une d’elles, le phénomène musulman d’allaiter les adultes, ou « ar’rida’ al kabir, le grand allaitement) - en donnant encore des titres directives, précisément trois ans a dato, depuis qu’elles occasionnèrent des controverses dans (et des ivénitables moqueries, du) monde islamique. Selon les nouvelles du Golfe :

Exactement avant trois ans, le 22 Mai, un érudit égyptien discipliné à l’Université Al Azhar, une des plus prestigieuses institutions de l’islam dans le monde, après qu’il eut issu une « fatwa » recommandant aux femmes musulmanes d’allaiter leurs partenaires mâles. Docteur Izzat Attiyah dit que sa « fatwa » donne les moyens de rapprocher les deux sexes, mâles et femelles, sur les lieux de travail, depuis que l’allaitement établit une relation maternel, même si le bénéficiaire n’est pas un fils ou une fille biologique de la femme allaitante.

Actuellement un saoudien haut placé, scheykh Abdel Mohsen al Abaican, un consultant de la cour royale saoudienne, issue une « fatwa » assurant que :

Les femmes peuvent donner le lait de leur poitrine aux hommes pour établir un degré de relations maternelles pour arriver à une stricte interdiction religieuse entre les hommes et les femmes qui n’ont aucun lien de parenté. [Car] un homme qui souvent visite une maison et entre en contact avec ses femelles devrait naître des liens symboliques avec ces femmes, en buvant du lait de la poitrine d’une des femmes. Sous l’égide de cette fatwa, l’acte interdirait des relations sexuelles entre l’homme et la femme qui lui a donné son lait, comme de n’importe quelle autre femme de sa parenté.

De cette manière, scheykl Al Abaican tenta de moderniser la point de vue du Docteur Izzat Attiyah, en disant que l’homme devrait boire le lait de la poitrine de la femme, tout en suggérant que l’homme ne doit pas boire le lait directement des mammelles de la femme. Il doit le boire d’un verre et ainsi devenir un des membres de la famille, un fait qui lui permet d’entrer chez ces femmes sans enfreindre les lois de l’islam relatives au coinjointement.

(tant il est simple de se contrôler personnellement sans devoir aller à travers de bizarres rituels)

Néanmoins, quelle est l’origine de ces idées de l’allaitement des adultes ?

Comme d’habitude, naturellement Mouhammad.

Un hadith de la tradition, racconte qu’une femme une fois demanda à Mouhammad, que faire au cas où un jeune garçon qui aurait vécu avec elle et son mari, arriva à l’âge adulte : mais qui n’avait aucun lien de parenté avec elle et son mari, et habitait avec elle et habitait librement avec eux, ainsi voyant sa femme non voilée, de cette façon offençant son époux ! Mouhammad lui répondit d’allaiter l’homme. Choquée, la femme dit à Mouhammad qu’il est un adulte. Selon certaines traditions, Mouhammad, tout en riant lui dit :Je le sais. La femme allaita l’homme, il fut reporté que son mari ne fut pas offensé, car avec l’acte d’allaitement, cet homme devint un parent. A’ischa l’épouse favorite de Mouhammad « la mère des croyants » fréquement utilisa cette pratique pour pouvoir rencontrer des hommes qui n’avaient aucun lien de parenté avec elle (un des grands débats de son temps, tournait autour, combien d’allaitement étaient suffisants, un, cinq, dix, pour considérer un étranger comme membre de la famille ?

Regardez ci-après pour plus de hadiths.

L’importance de cette affaire d’allaitement a moins à faire avec sa sensationelle qualité, que plus à faire de ce qu’elle dit des lois surchargées et intrusives des lois de la nature de la schari’a dans la vie du musulman. Le musulman ne peut pas échapper à l’allaitement de l’adulte, simplement parce qu’elle se trouve dans le plus canonique des hadiths, y inclus « Sahih Muslem, Sounoun ibn Dawoûd et Ibn Maja » Plus loin elle a été adressée et reprise par certaines autorités islamiques comme « Ibn Taymiyya et Ibn Hazm » Pour refuter ce hadith, signifie refuter les sources et la méthodologie des « Ousoul al fikh » En un mot, rejeter les lois de la Schari’a.

Plus loin, la position d’Al Abacan supposée être la plus modérée,dit que les hommes ne devraient boire le lait directement de la mamelle, mais plutôtd’un verre. Egalement, cela démontre l’impossibilité de contourner les strictes lois de la Schari’a, du fait que son sofistiquation repose sur le fait que les hadiths n’indiquent pas litérairement que les hommes doivent boire le lait directement de la tétine, car il fut probablement dit sans spécifier, d’agir ainsi, car les moyens pour allaiter au VIIe siècle étaient limités en Arabie. Et des pompes n’existaient pas encore. Le temps du « en dehors du sujet » condemnent la pratique, al Abacan démontre que lui même ne peut se soustraire aux liens des paroles précises de Mouhammad.

Maintenant, voici le vrai problème (du point de vue d’un incrédule) Si en l’an 2010, les musulmans se sentent encore compléés à cet allaitement, simplement parce que Mouhammad au septième siècle a dit ainsi. Surement que de plein coeur, ils admettent les paroles profondement documentées et inéquivoques de leur prophète relatifs aux infidèles.

Contemple là de cette autre manière, l’issue de l’allaitement des adultes est embarrassante pour les musulmans, loin de leur prodiguer, potentiel, richesse et honneur, mais qui les range, surtout leurs femmes, dans une situation ridicule. Bien sûre, qu’elle est classée dans la liste « des dix plus bizarres et ridicules fatwas » Alors, pourquoi est-elle encore en usage parmi les musulmans ? Parceque Mouhammad a dit ainsi. Alors, qu’ils l’acceptent ou non, les musulmans doivent en une façon ou une autre s’y attacher et vivre avec.

Quoi alors des autres recommandations ou commandements de Mouhammad, des recommandations tenues loin de vouloir embarrasser les musulmans, leur prodigue force, richesse et honneur. Ce sont des commandements qui conviennent parfaitement aux besoins primordiaux des humains. Je parle de Mouhammad (et par extension de la loi de la Schari’a) des commandements unéquivoques pour les musulmans pour déclarer la guerre (jihad) contre les infidèles, de saccager les infidèles de leurs richesses, et de leurs femmes, et de les tenir sous leur perpétuel joûg. Comme toutes les choses qui définissent l’histoire musulmane vis-à-vis des infidèles.

Pour sûre, Mouhammad, une fois a prévenu les musulmans : Parce que vous avez négligé le jihad et que vous vous êtes attachés aux queux des vaches et traiter avec les marchandises, Allah vous a remplis de honte et vous ne serez jamais capable de vous en débarasser de vos propres moyens, jusqu’à ce que vous répentiez à Allah et retournez à vos positions [en tant que jihadistes à l’offensive] emprunté au livret : « Al Qua’ida Reader » page 162.

Tout cours, la mentalité musulmane qui sent le besoin d’adresser l’allaitement de l’adulte, tout simplement parce que Mouhammad l’a recommandée une fois, devrait être attribuée à la constante incitation du prophète pour la guerre et la conquète, vivant dans une période où le monde islamique est significativement plus faible vis-à-vis du monde infidèle et ainsi courament vivant dans un état de commandements belliqueux, et qu’on peut omettre ce fait. Mais l’intention est sûrement là. Pour celà, il nous suffit de contempler au XXIe siècle, les musulmans commenter une absurdité telle « l’allaitement de l’adulte » pour s’en assurer.

Raymond Ibrahim, Co-directeur du « Middle East Forum » et auteur du “al Qua’ida Reaer” et hôte lecteur au « National Defense Intelligence College »

Raymond Ibrahim, a specialist in Islamic history and doctrine, is the author of Defenders of the West: The Christian Heroes Who Stood Against Islam (2022); Sword and Scimitar: Fourteen Centuries of War between Islam and the West (2018); Crucified Again: Exposing Islam’s New War on Christians (2013); and The Al Qaeda Reader (2007). He has appeared on C-SPAN, Al-Jazeera, CNN, NPR, and PBS and has been published by the New York Times Syndicate, the Los Angeles Times, the Washington Post, the Financial Times, the Weekly Standard, the Chronicle of Higher Education, and Jane’s Islamic Affairs Analyst. Formerly an Arabic linguist at the Library of Congress, Ibrahim guest lectures at universities, briefs governmental agencies, and testifies before Congress. He has been a visiting fellow/scholar at a variety of Institutes—from the Hoover Institution to the National Intelligence University—and is the Judith Friedman Rosen Fellow at the Middle East Forum and the Distinguished Senior Shillman Fellow at the Gatestone Institute.
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